exercice de pleine conscience

vous
   Nombreuses sont les possibilités de faire appel à notre pleine conscience pendant ces journées d'automne ...
La nature est belle n'est ce pas !  Certains d'entre vous baladent de bon matin bucoliquement    , d'autres plutôt en soirée ... Tout dépend du temps et de notre emploi du temps . Mais dans tous les cas , nous pouvons appliquer tous les conseils de ( au fait pour les "jeuns" de l'école , c'est bob l'éponge , notre Maître à tous dans cette vie qui n'est parait -il qu'une illusion , il se nomme JP ! )
Bon , je reviens à mon premier sujet , au fait c'était quoi ... ah! oui La Pleine Conscience ; Alors je vous propose une activité automnale ,( si vous ne l'avez déjà pratiquée ) :  cueillir des champignons , fastoche    , mais , le faire en Pleine conscience , un après l'autre , plus dur n'est ce pas , tellement il y en a !   Il faut avant tout , marcher à pas lent , en pleine conscience   , voir , en pleine conscience   , attention ! pas de mental , ne commencez pas à imaginer votre champignon , que vous n'avez pas encore cueilli , déjà cuit avec de l'ail et du persil ! , puis baissez vous , tjrs en pleine conscience , évidemment , cela va de soi (comme les japonnais qui avant de faire quoique ce soit font attention à l'acte qu'il vont produire ) , puis coupez le , EN PLEINE CONSCIENCE     tjrs et tjrs , ne dormez pas   , soyez vigilant et enfin mettez le dans votre panier OUF !  C'est fini   et fatiguant non !
   Non , non , c'est cool
prenez du plaisir , ça FAIT DU BIEN      
    Et pour rigoler
 faites comme la petite fille ; fredonnez la chansonnette
 
https://youtu.be/Mxj-vAiZC_g

Voici , un texte qui me fait esperer qu 'un jour, peut -etre .....



Comme toujours, les poètes ont précédé les scientifiques dans la des-
cription de la pleine conscience. Voilà une fort belle description de
l’écrivain autrichien Hugo von Hofmannsthaln (1874-1929), qui sou-
ligne la dimension non verbale de cet état mental (extrait de la
Lettre de
lord Chandos
):
«Depuis lors, je mène une existence que vous aurez du mal à conce-
voir, je le crains, tant elle se déroule hors de l’esprit, sans une pensée ;
une existence qui diffère à peine de celle de mon voisin, de mes proches
et de la plupart des gentilshommes campagnards de ce royaume, et qui
n’est pas sans des instants de joie et d’enthousiasme. Il ne m’est pas aisé
d’esquisser pour vous de quoi sont faits ces moments heureux ; les mots
une fois de plus m’abandonnent. Car c’est quelque chose qui ne possè-
de aucun nom et d’ailleurs ne peut guère en recevoir, cela qui s’annon-
ce à moi dans ces instants, emplissant comme un vase n’importe quelle
apparence de mon entourage quotidien d’un flot débordant de vie
exaltée. Je ne peux attendre que vous me compreniez sans un exemple
et il me faut implorer votre indulgence pour la puérilité de ces évoca-
tions. Un arrosoir, une herse à l’abandon dans un champ, un chien au
soleil, un cimetière misérable, un infirme, une petite maison de paysan,
tout cela peut devenir le réceptacle de mes révélations. Chacun de ces
objets, et mille autres semblables dont un œil ordinaire se détourne avec
une indifférence évidente, peut prendre pour moi soudain, en un
moment qu’il n’est nullement en mon pouvoir de provoquer, un caractè-
re sublime et si émouvant, que tous les mots, pour le traduire, me parais-
sent trop pauvres. »
cp_41_pxxxxxx_consc_Andre_FP.xp 25/08/10 14:58 Page 20

Chère Amie que j'  
Oh ! merci pour ce magnifique texte
Que tout est bien dit ...
Texte qui nous donne envie de faire comme cet homme , vivre tout simplement , cela doit être ça  ?
Je m'y entraine Chère Branchiflore !, je m'y en entraine et les piqures de rappel comme cela font du bien
  Merci